La musique de la semaine

La chanson de la semaine !!! Parov Stelar nous fait voyagé avec "Lost in amsterdam" et il faut bien avouer qu'on à qu'une seule envie, celle de s'y perdre avec cette chanson sur les oreilles :)
Le rythme est on ne peut plus "sympa", la voix arrive juste au bon moment et épouse à merveille cette petite perle de cool-attitude :)
Enjoy !

La phrase de la semaine

"Il ne faut pas faire des grandes choses, juste des petites avec un grand amour"
Mère Térésa

La musique de la semaine

Le morceau de la semaine est une petite bombe signé Vitalic. Le morceau s'appelle Poney Part I et j'avoue qu'à chaque fois elle fait son p'tit effet, je bouge mon popotin comme un ado :p

La phrase de la semaine

« Les fachos ont un QI a peine plus élevé que leur température anale. »
Pierre Desproges

Lovely Bones de Peter Jackson

Synopsis :

L'histoire d'une jeune fille assassinée qui, depuis l'au-delà, observe sa famille sous le choc de sa disparition et surveille son meurtrier, ainsi que la progression de l'enquête...

Avec Saoirse Ronan, Mark Wahlberg, Stanley Tucci

Date de sortie cinéma : 10 février 2010


Vu mardi.
Le nouveau Peter Jackson est loin de faire l'unanimité, pourtant j'en suis ressorti personnellement conquis, car si le film n'est pas parfait il a ravivé en moi des sentiments profond et surtout, pour reprendre une phrase tirée de Mad movies, il m'a rappelé pourquoi un jour j'étais tombé amoureux du 7ème art.
Sa force ? L'impressionnante palette de sentiments retranscrit à l'écran, rappelant à certain moment "Heavenly Creatures". Je crois être passé par quasiment toutes les phases émotionnelles tout au long des 2h08 de film : L'amour, la haine, la joie, la peine, la peur, l'empathie ou encore le dégout. Lovely bones est avant tout en film qui se ressent, appuyé par une mise en scène poétique et un travail sonore remarquable, Peter Jackson signe un film qui joue avec les âmes et les sensations.
Que dire également de la jeune actrice Saoirse Ronan qui signe là une prestation impressionnante, apportant une réel pureté au métrage.
Mais au delà de toutes ses qualités on pourra lui reprocher des SFX foireux, une mise en image du paradis limite foireuse tant au niveau esthétique qu'au niveau du déroulement, car au final cela n'apporte pas grand chose...
Le bon signe c'est que depuis j'y repense tous les jours et qu'il vieilli bien dans ma tête
Note : 7.5/10 (un quasi 8/10)

I love you Phillip Morris de Glenn Ficarra et John Requa

Synopsis :

L'histoire vraie d'un ex-flic, ex-mari, ex-arnaqueur aux assurances, ex-prisonnier modèle et éternel amant du codétenu Phillip Morris. Steven Russell est prêt à tout pour ne jamais être séparé de l'homme de sa vie. Ce qui implique notamment de ne pas moisir en prison. Jusqu'où peut-on aller par amour? Très loin si l'on en croit l'histoire incroyable de Steven Russell, un génie de l'évasion rattrapé par son romantisme.

Avec Jim Carrey, Ewan McGregor, Leslie Mann

Date de sortie cinéma : 10 février 2010


Vu mardi.
Une comédie en demi-teinte, qui a perpétuellement le cul entre deux chaises, ne se transcendant ni par son coté humoristique qui ne fonctionne pas à chaque fois, ni par sa force émotionnel pas toujours convaincante.
Néanmoins c'est pas réellement vilain à regarder, ne serait-ce que pour Ewan Mcgregor qui vole la vedette à un Jim Carrey que l'on a déjà vu plus inspiré.
C'est drôle mais pas toujours, c'est touchant mais pas toujours et au final c'est vite vu vite oublié. Dommage il y a de l'idée et surtout on sent un réalisateur honnête qui n'en fait pas des tonnes.
Note : 5.5/10

La musique de la semaine

Une chanson que j'écoute beaucoup en ce moment, apparemment c'est super connu :) Moi je viens de découvrir :p
La chanteuse s'appelle Gossip, la chanson Love long distance et ça à un coté très classieux je trouve !

La phrase de la semaine

« Etre libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres »
Nelson Mandela

Une exécution ordinaire de Marc Dugain

Synopsis :

L'automne 1952. Une jeune médecin urologue et magnétiseur qui pratique dans un hôpital de la banlieue de Moscou cherche désespérément à tomber enceinte de son mari, un physicien désabusé qui ne survit que grâce à l'amour qui le lie à sa femme. Cette dernière est à son grand effroi appelée secrètement à soigner Staline, malade, au seuil de la mort, et qui vient de se débarrasser de son médecin personnel. Le dictateur s'insinue dans le couple et installe avec la jeune femme une relation où se mêlent confidences et manipulation. Tour à tour amical et pervers, le monstre livre son art de la terreur comme on ne l'a jamais vu.


Avec André Dussollier, Marina Hands, Edouard Baer

Date de sortie cinéma : 3 février 2010


Vu hier.
Un premier film plus qu'encourageant pour Marc Dugain qui signe là une oeuvre au pouvoir de réflexion intéressant : La manipulation, la peur, l'image, les sous-entendus. Autant de sentiments instaurés par un André Dussollier totalement habité par son personnage.
De l'autre coté, une urologue agrippée dans sa toile, soumise aux désirs de Staline, obligée de bafoué sa propre vie amoureuse, elle c'est Marina Hands qui incarne parfaitement cette allégeance.
On pourra reprocher au film un manque de dynamisme par moment, un manque d'ambition mais le film reste par ailleurs toujours très agréable à suivre.
Note : 7/10

Brothers de Jim Sheridan

Synopsis :

Sam & Grace forment un couple parfait et sont les parents de deux petites filles. Sam est envoyé par l'ONU en mission à l'étranger et confie à Tommy, son frère tout juste sorti de prison, le soin de s'occuper de sa famille. Lorsque Sam est porté disparu et présumé mort, Tommy et Grace se rapprochent contre toute attente. C'est alors que Sam revient du front...

Avec Jake Gyllenhaal, Tobey Maguire, Natalie Portman

Date de sortie cinéma : 3 février 2010


Vu hier.
Une histoire simple, souvent prévisible, aux sentiments parfois un tout petit peu trop appuyés mais un trio d'acteurs qui vaut à lui seul le déplacement.
Jake Gyllenhaal prouve une fois encore qu'il est un acteur exceptionnel mais c'est surtout Tobey Maguire qui surprend, totalement métamorphosé (surtout dans la dernière partie) il vole la vedette à tout le monde dans un rôle d'un personnage blessé par la guerre et l'horreur qu'il a pu vivre.
La musique est un poil trop appuyer lors du dernier tiers mais le film demeure efficace jusqu'au bout, en plus y'a Sam Shepard alors que demande le peuple
Note : 7/10

Mr Nobody de Jaco van Dormael

Synopsis :

Un enfant sur le quai d'une gare. Le train va partir. Doit-il monter avec sa mère ou rester avec son père ? Une multitude de vies possibles découlent de ce choix. Tant qu'il n'a pas choisi, tout reste possible. Toutes les vies méritent d'être vécues.

Avec Jared Leto, Sarah Polley, Diane Kruger

Date de sortie cinéma : 13 janvier 2010


Vu mardi.
Première déception de l'année avec Mr Nobody qui sur une idée de départ plus qu'intéressante s'enlise dans une mise en scène redondante et donc forcément lassante sur la durée.
La vie est faite de choix, tous ces choix engendre des conséquences qui parfois peuvent changer le cours de notre vie à jamais, voici le point de départ, un thème passionnant qui n'est pas sans rappeler l'effet papillon même si la comparaison ne tient pas dans la forme.
Car oui le gros défaut de Mr Nobody vient de la mise en scène répétitive et un poil prétentieuse quand même il faut bien l'avouer. Ajouter à cela une bande son génial mais entendu mille fois ailleurs et elle aussi ressasser pendant plus de deux heures ...
Coté bon point, car il y en a plus que ce que je veux bien le dire, il faudra retenir un casting solide et une émotion bien amené. Certaines scènes valent vraiment le coup d'oeil et le plus rageant c'est qu'on se dit qu'au final il manquait peut être pas grand chose mais que ses défauts empiètent terriblement sur ses qualités
Note : 6/10

La musique de la semaine

Probablement mon coup de coeur en ce qui concerne les albums trip hop de 2009.
Sortie en fin d'année dernière le dernier Dubphonic : "Relight", est un album exceptionnel !! A écouter de toute urgence pour les fans du genre.
Le morceau choisi ici s'appelle "Nora sun", la puissance du morceau et le coté envoutant du hang en font une perle qui engendre à chaque écoute un florilège de superlatifs dont je vous dispense ;)
Allez on mets les hauts-parleurs à fond et on se laisse porter !!

La phrase de la semaine

"L'homme devrait mettre autant d'ardeur à simplifier sa vie qu'il en met à la compliquer"
Henri Bergson

In the air de Jason Reitman

Synopsis :

L'odyssée de Ryan Bingham, un spécialiste du licenciement à qui les entreprises font appel pour ne pas avoir à se salir les mains. Dans sa vie privée, celui-ci fuit tout engagement (mariage, propriété, famille) jusqu'à ce que sa rencontre avec deux femmes ne le ramène sur terre.
Ryan Bingham est un collectionneur compulsif de miles aériens cumulés lors de ses incessants voyages d'affaire. Misanthrope, il adore cette vie faite d'aéroports, de chambres d'hôtel et de voitures de location. Lui dont les besoins tiennent à l'intérieur d'une seule valise est même à deux doigts d'atteindre un des objectifs de sa vie : les 10 millions de miles.
Alors qu'il tombe amoureux d'une femme rencontrée lors d'un de ses nombreux voyages, il apprend par la voix de son patron que ses méthodes de travail vont devoir évoluer. Inspiré par une nouvelle jeune collaboratrice très ambitieuse, celui-ci décide que les licenciements vont pouvoir se faire de manière encore plus rentable, via... vidéo conférence. Ce qui risque évidemment de limiter ces voyages que Bingham affectionne tant...

Avec George Clooney, Anna Kendrick, Jason Bateman,

Date de sortie cinéma : 27 janvier 2010


Vu mardi.
La bande annonce ne me disait trop rien mais j'avais bien aimé les précédents films de Jason Reitman j'ai donc décidé de me laissé tenté.
Pas déçu finalement, si cela reste son moins bon film ce n'est pas aussi lourd que ce à quoi je m'attendais.
Effectivement "In the air" peut se montrer agaçant ou encore futile mais malgré tout plutôt agréable ! Georges Clooney colle parfaitement au film et parvient à donner malicieusement le coté cynique (un peu) et superficiel (beaucoup) totalement voulu par le réalisateur.
Convenu, bien trop gentil et pas très novateur effectivement, encore un film qui sera vite oublié mais qui à la qualité d'être très agréable à suivre.
Note : 6/10