Synopsis :
Homme d'industrie et de pouvoir, Stanislas Graff est enlevé un matin comme les autres devant son immeuble par un commando de truands.
Commence alors un calvaire qui durera plusieurs semaines. Amputé, humilié, nié dans son humanité, il résiste en ne laissant aucune prise à ses ravisseurs. Il accepte tout sans révolte, sans cri, sans plainte, c'est par la dignité qu'il répond à la barbarie.
Coupé du monde, ne recevant que des bribes d'informations par ses geôliers, Graff ne comprend pas que personne ne veuille payer la somme qui le délivrerait.
Au-dehors, son monde se fissure au fur et à mesure de la révélation de sa personnalité. Tout ce qu'il avait réussi à garder d'intimité, son jardin secret, est révélé à sa famille par l'enquête de police ou celle de la presse.
Chacun découvre un homme qui est loin de ressembler à celui qu'il imaginait.
Quand il retrouvera la liberté, ce sera pour s'apercevoir qu'il a tout perdu, l'amour des siens, l'estime de ses collègues, son pouvoir, la confiance en ses proches.
Sa libération se révélera plus difficile à vivre que sa captivité.
Vu mardi.
Rapt, qui n'est autre que l'histoire du Baron Empain, raconte l'aventure du richissime homme d'affaire avant, pendant mais surtout après son kidnapping, la phase surement la plus intéressante. En effet dans cette affaire l'important se situe peut être au retour du Baron, lorsqu'il est confronté aux médias, à sa famille et à son entreprise.
De bout en bout le film est porté par un Yvan Attal convainquant (et pourtant je ne suis pas son premier fan), tantôt fragile, tantôt mystérieux, l'homme avec ses qualités, ses défauts et ses doutes. Un personnage intéressant, dans le film tout comme dans la vraie vie.
Un Lucas Belvaux qui n'en fait pas trop qui maitrise son sujet et livre un film propre et réussi.
Note : 7/10
Homme d'industrie et de pouvoir, Stanislas Graff est enlevé un matin comme les autres devant son immeuble par un commando de truands.
Commence alors un calvaire qui durera plusieurs semaines. Amputé, humilié, nié dans son humanité, il résiste en ne laissant aucune prise à ses ravisseurs. Il accepte tout sans révolte, sans cri, sans plainte, c'est par la dignité qu'il répond à la barbarie.
Coupé du monde, ne recevant que des bribes d'informations par ses geôliers, Graff ne comprend pas que personne ne veuille payer la somme qui le délivrerait.
Au-dehors, son monde se fissure au fur et à mesure de la révélation de sa personnalité. Tout ce qu'il avait réussi à garder d'intimité, son jardin secret, est révélé à sa famille par l'enquête de police ou celle de la presse.
Chacun découvre un homme qui est loin de ressembler à celui qu'il imaginait.
Quand il retrouvera la liberté, ce sera pour s'apercevoir qu'il a tout perdu, l'amour des siens, l'estime de ses collègues, son pouvoir, la confiance en ses proches.
Sa libération se révélera plus difficile à vivre que sa captivité.
Vu mardi.
Rapt, qui n'est autre que l'histoire du Baron Empain, raconte l'aventure du richissime homme d'affaire avant, pendant mais surtout après son kidnapping, la phase surement la plus intéressante. En effet dans cette affaire l'important se situe peut être au retour du Baron, lorsqu'il est confronté aux médias, à sa famille et à son entreprise.
De bout en bout le film est porté par un Yvan Attal convainquant (et pourtant je ne suis pas son premier fan), tantôt fragile, tantôt mystérieux, l'homme avec ses qualités, ses défauts et ses doutes. Un personnage intéressant, dans le film tout comme dans la vraie vie.
Un Lucas Belvaux qui n'en fait pas trop qui maitrise son sujet et livre un film propre et réussi.
Note : 7/10
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