Synopsis :
L'automne 1952. Une jeune médecin urologue et magnétiseur qui pratique dans un hôpital de la banlieue de Moscou cherche désespérément à tomber enceinte de son mari, un physicien désabusé qui ne survit que grâce à l'amour qui le lie à sa femme. Cette dernière est à son grand effroi appelée secrètement à soigner Staline, malade, au seuil de la mort, et qui vient de se débarrasser de son médecin personnel. Le dictateur s'insinue dans le couple et installe avec la jeune femme une relation où se mêlent confidences et manipulation. Tour à tour amical et pervers, le monstre livre son art de la terreur comme on ne l'a jamais vu.
Avec André Dussollier, Marina Hands, Edouard Baer
Date de sortie cinéma : 3 février 2010
Vu hier.
Un premier film plus qu'encourageant pour Marc Dugain qui signe là une oeuvre au pouvoir de réflexion intéressant : La manipulation, la peur, l'image, les sous-entendus. Autant de sentiments instaurés par un André Dussollier totalement habité par son personnage.
De l'autre coté, une urologue agrippée dans sa toile, soumise aux désirs de Staline, obligée de bafoué sa propre vie amoureuse, elle c'est Marina Hands qui incarne parfaitement cette allégeance.
On pourra reprocher au film un manque de dynamisme par moment, un manque d'ambition mais le film reste par ailleurs toujours très agréable à suivre.
Note : 7/10
L'automne 1952. Une jeune médecin urologue et magnétiseur qui pratique dans un hôpital de la banlieue de Moscou cherche désespérément à tomber enceinte de son mari, un physicien désabusé qui ne survit que grâce à l'amour qui le lie à sa femme. Cette dernière est à son grand effroi appelée secrètement à soigner Staline, malade, au seuil de la mort, et qui vient de se débarrasser de son médecin personnel. Le dictateur s'insinue dans le couple et installe avec la jeune femme une relation où se mêlent confidences et manipulation. Tour à tour amical et pervers, le monstre livre son art de la terreur comme on ne l'a jamais vu.
Avec André Dussollier, Marina Hands, Edouard Baer
Date de sortie cinéma : 3 février 2010
Vu hier.
Un premier film plus qu'encourageant pour Marc Dugain qui signe là une oeuvre au pouvoir de réflexion intéressant : La manipulation, la peur, l'image, les sous-entendus. Autant de sentiments instaurés par un André Dussollier totalement habité par son personnage.
De l'autre coté, une urologue agrippée dans sa toile, soumise aux désirs de Staline, obligée de bafoué sa propre vie amoureuse, elle c'est Marina Hands qui incarne parfaitement cette allégeance.
On pourra reprocher au film un manque de dynamisme par moment, un manque d'ambition mais le film reste par ailleurs toujours très agréable à suivre.
Note : 7/10
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