Synopsis :
En avril 1607, trois bateaux anglais accostent sur la côte orientale du continent nord-américain. Au nom de la Virginia Company, ils viennent établir "Jamestown", un avant-poste économique, religieux et culturel sur ce qu'ils considèrent comme le Nouveau Monde.
Même s'ils ne s'en rendent pas compte, le capitaine Newport et ses colons britanniques débarquent au coeur d'un empire indien très sophistiqué dirigé par le puissant chef Powhatan. John Smith, un officier de l'armée, est alors aux fers pour insubordination. Déstabilisés, les Anglais préfèrent combattre plutôt que de s'adapter.
En cherchant de l'aide auprès des Indiens, John Smith découvre une jeune femme fascinante. Volontaire et impétueuse, elle se nommée Pocahontas, ce qui signifie "l'espiègle". Très vite, un lien se crée entre elle et Smith. Un lien si puissant qu'il transcende l'amitié ou même l'amour...
Avec Colin Farrell, Christian Bale, Q'orianka Kilcher
Date de sortie : 15 Février 2006
Revu hier, pour poursuivre avec la ligne rouge.
Mon avis sur le film à peu changer de ce qu'il était à l'époque de la sortie ciné, Malick est un poète !
Au travers de l'histoire déjà conté par Disney, Pocahontas, il livre un véritable hymne à l'amour, hymne à la nature. Presque avec naïveté, il dresse un portait lyrique de l'union entre John Smith et la jeune femme (bien que historiquement galvaudé). Un amour désintéressé, une pureté sans égal, sans couleur, sans origine.
Une expérience sensorielle, hors du temps, une grande intelligence dans le propos, celle des valeurs et des cultures, la cohabitation de 2 groupes aux mœurs différentes. L'humain aurait-il perdu le sens de choses simples, des sentiments et de ce contact fusionnel avec la nature ? C'est en tout cas le décalage que l'on ressent à l'arrivée des Anglais.
Les dernières minutes semblent alors bien difficile à appréhender, l'amour se meurt, l'Eden semble disparaître au loin, comme un vieux rêve qui n'existe probablement pas, la désillusion pointe le bout de son nez, la réalité nous rattrape, un goût amer nous traverse la gorge, l'idéalisme s'effondre et nous ramène à la maison.
Note : 8/10
En avril 1607, trois bateaux anglais accostent sur la côte orientale du continent nord-américain. Au nom de la Virginia Company, ils viennent établir "Jamestown", un avant-poste économique, religieux et culturel sur ce qu'ils considèrent comme le Nouveau Monde.
Même s'ils ne s'en rendent pas compte, le capitaine Newport et ses colons britanniques débarquent au coeur d'un empire indien très sophistiqué dirigé par le puissant chef Powhatan. John Smith, un officier de l'armée, est alors aux fers pour insubordination. Déstabilisés, les Anglais préfèrent combattre plutôt que de s'adapter.
En cherchant de l'aide auprès des Indiens, John Smith découvre une jeune femme fascinante. Volontaire et impétueuse, elle se nommée Pocahontas, ce qui signifie "l'espiègle". Très vite, un lien se crée entre elle et Smith. Un lien si puissant qu'il transcende l'amitié ou même l'amour...
Avec Colin Farrell, Christian Bale, Q'orianka Kilcher
Date de sortie : 15 Février 2006
Revu hier, pour poursuivre avec la ligne rouge.
Mon avis sur le film à peu changer de ce qu'il était à l'époque de la sortie ciné, Malick est un poète !
Au travers de l'histoire déjà conté par Disney, Pocahontas, il livre un véritable hymne à l'amour, hymne à la nature. Presque avec naïveté, il dresse un portait lyrique de l'union entre John Smith et la jeune femme (bien que historiquement galvaudé). Un amour désintéressé, une pureté sans égal, sans couleur, sans origine.
Une expérience sensorielle, hors du temps, une grande intelligence dans le propos, celle des valeurs et des cultures, la cohabitation de 2 groupes aux mœurs différentes. L'humain aurait-il perdu le sens de choses simples, des sentiments et de ce contact fusionnel avec la nature ? C'est en tout cas le décalage que l'on ressent à l'arrivée des Anglais.
Les dernières minutes semblent alors bien difficile à appréhender, l'amour se meurt, l'Eden semble disparaître au loin, comme un vieux rêve qui n'existe probablement pas, la désillusion pointe le bout de son nez, la réalité nous rattrape, un goût amer nous traverse la gorge, l'idéalisme s'effondre et nous ramène à la maison.
Note : 8/10
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