Synopsis :
John Rambo s'est retiré dans le nord de la Thaïlande, où il mène une existence simple dans les montagnes et se tient à l'écart de la guerre civile qui fait rage non loin de là, sur la frontière entre la Thaïlande et le Myanmar. Il pêche et capture des serpents venimeux pour les vendre.
La violence du monde le rattrape lorsqu'un groupe de volontaires humanitaires mené par Sarah et Michael Bennett vient le trouver pour qu'il les guide jusqu'à un camp de réfugiés auquel ils veulent apporter une aide médicale et de la nourriture. Rambo finit par accepter et leur fait remonter la rivière, vers l'autre côté de la frontière.
Deux semaines plus tard, le pasteur Arthur Marsh lui apprend que les volontaires ne sont pas revenus et que les ambassades refusent de l'aider à les retrouver. Rambo sait mieux que personne ce qu'il faut faire dans ce genre de situation...
Avec Sylvester Stallone, Julie Benz, Paul Schulze
Date de sortie : 06 Février 2008
Vu mercredi.
En annonçant le retour de ses deux personnages, Rocky et Rambo, Stallone en a fait rire plus d' un (moi y compris), puis le projet a pris forme, et l' année dernière est sorti Rocky Balboa, on connait tous le résultat, un film honnète et touchant encensé par les critiques et les fans ...
Rambo a du essuyer les mêmes rires, d' ailleurs ceux qui ne l' ont pas vu rient encore, de mon coté j' ai beaucoup moins rit en voyant les premières vidéos sur le net, et depuis je l' attendais de pied ferme !
Stallone l' a fait les enfants, oui il a reussi a conclure lui même deux saga qu' il avait en parti détruit lui même, et de quelle manière !!!
John Rambo est un film brutal, sans concessions, dans la jungle Birmane la violence règne et Stallone choisi de ne pas fermer les yeux, les viols, les assassinats d' enfants, les bébés jetés au feu, les tortures et autres jeux de mines ... Tout est montré de façon cru et direct.
Rambo est en ce sens un film pessimiste où des humanitaires idéalistes ne se rendent pas comptent de la nature de l' homme, où leurs idées ne tiennent pas 5 minutes face à la barbarerie Birmane qui sévit depuis plus de 60 ans.
Rambo est un homme désabusé par l' homme et par ce que lui même est devenu car il sait que finalement qu' on ne peut rien changer, rien ne change jamais. Que la seule façon de s' en sortir et d' être encore plus barbare que ceux d' en face, que rien ni personne ne fera changer la guerre et tous les excès humains.
La violence est donc omniprésente dans ce film qui repousse toutes les limites du genre, du jamais vu, de la boucherie tout simplement, les corps vols, se démembrent, certains sont brûlés d' autres décapités, et Sly apparaït dans ce déluge inouï comme un icone, d' une force jouissive et sanglante, un homme qui n' a que la guerre dans le sang.
La dernière partie du film est ENORME, summum du personnage, "la machine de geurre", "l'homme à tuer" reprend du service pour notre plus grand plaisir.
Stallone trouve en Rambo un film unique où la demi-mesure n' existe pas entre l' horreur et le plaisir de tuer.
Sly remet donc pour la deuxième année consécutive les pendules à l'heure, non il n' est pas mort de loin pas, l' homme a je pense pas mal changer (il le dit lui même), il s' est en tout cas passé quelque chose d' assez impresionnant dans son cinéma !
Note : 8/10
John Rambo s'est retiré dans le nord de la Thaïlande, où il mène une existence simple dans les montagnes et se tient à l'écart de la guerre civile qui fait rage non loin de là, sur la frontière entre la Thaïlande et le Myanmar. Il pêche et capture des serpents venimeux pour les vendre.
La violence du monde le rattrape lorsqu'un groupe de volontaires humanitaires mené par Sarah et Michael Bennett vient le trouver pour qu'il les guide jusqu'à un camp de réfugiés auquel ils veulent apporter une aide médicale et de la nourriture. Rambo finit par accepter et leur fait remonter la rivière, vers l'autre côté de la frontière.
Deux semaines plus tard, le pasteur Arthur Marsh lui apprend que les volontaires ne sont pas revenus et que les ambassades refusent de l'aider à les retrouver. Rambo sait mieux que personne ce qu'il faut faire dans ce genre de situation...
Avec Sylvester Stallone, Julie Benz, Paul Schulze
Date de sortie : 06 Février 2008
Vu mercredi.
En annonçant le retour de ses deux personnages, Rocky et Rambo, Stallone en a fait rire plus d' un (moi y compris), puis le projet a pris forme, et l' année dernière est sorti Rocky Balboa, on connait tous le résultat, un film honnète et touchant encensé par les critiques et les fans ...
Rambo a du essuyer les mêmes rires, d' ailleurs ceux qui ne l' ont pas vu rient encore, de mon coté j' ai beaucoup moins rit en voyant les premières vidéos sur le net, et depuis je l' attendais de pied ferme !
Stallone l' a fait les enfants, oui il a reussi a conclure lui même deux saga qu' il avait en parti détruit lui même, et de quelle manière !!!
John Rambo est un film brutal, sans concessions, dans la jungle Birmane la violence règne et Stallone choisi de ne pas fermer les yeux, les viols, les assassinats d' enfants, les bébés jetés au feu, les tortures et autres jeux de mines ... Tout est montré de façon cru et direct.
Rambo est en ce sens un film pessimiste où des humanitaires idéalistes ne se rendent pas comptent de la nature de l' homme, où leurs idées ne tiennent pas 5 minutes face à la barbarerie Birmane qui sévit depuis plus de 60 ans.
Rambo est un homme désabusé par l' homme et par ce que lui même est devenu car il sait que finalement qu' on ne peut rien changer, rien ne change jamais. Que la seule façon de s' en sortir et d' être encore plus barbare que ceux d' en face, que rien ni personne ne fera changer la guerre et tous les excès humains.
La violence est donc omniprésente dans ce film qui repousse toutes les limites du genre, du jamais vu, de la boucherie tout simplement, les corps vols, se démembrent, certains sont brûlés d' autres décapités, et Sly apparaït dans ce déluge inouï comme un icone, d' une force jouissive et sanglante, un homme qui n' a que la guerre dans le sang.
La dernière partie du film est ENORME, summum du personnage, "la machine de geurre", "l'homme à tuer" reprend du service pour notre plus grand plaisir.
Stallone trouve en Rambo un film unique où la demi-mesure n' existe pas entre l' horreur et le plaisir de tuer.
Sly remet donc pour la deuxième année consécutive les pendules à l'heure, non il n' est pas mort de loin pas, l' homme a je pense pas mal changer (il le dit lui même), il s' est en tout cas passé quelque chose d' assez impresionnant dans son cinéma !
Note : 8/10
1 commentaires:
rambo powa!! it's not my buisness !! c'est dla tuerie
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