lundi 14 janvier 2008

The indian runner de Sean Penn

Synopsis :

1968, Plattsmouth au Nebraska. Joe et Frank Roberts, deux freres jadis tres proches, sont a un tournant de leur vie. Joe, fermier rate, est devenu policier. Frank, lui, revient du Vietnam. Joe prone les valeurs traditionnelles de son pays tandis que Frank cherche un sens qui ne soit pas absurde a sa vie. "Indian Runner" est inspire d'une vieille legende indienne sur l'epreuve que doivent passer les jeunes gens pour entrer dans l'age adulte.

Avec David Morse, Viggo Mortensen, Patricia Arquette

Date de sortie : 09 Octobre 1991

Vu hier.
La semaine dernière le nouveau bébé de Sean Penn est sorti sur nos écran (Into the wild) et m' a sacrement redonner envie de voir enfin le seul film que je n' avais pas vu de lui, The Indian runner.
Force est de constater que ce premier film ne fait qu' embellir une filmographie d' une qualité et d' une régularité rare. Sean Penn déjà à l' époque imposait son style et ses valeurs rappelant un certain Eswtwood (y' a pire comme comparaison).
Comme dans les autres métrage c' est l' histoire et les personnages qui priment, Sean Penn s' empreigne de son scénario, donne de lui, de son caractère, tout mets du temps à se mettre un place pour dresser au plus proche des portraits d' homme et des femmes. La psycologie des protagonistes est fouillé dans les moindres recoins, Sean Penn nous fait beaucoup réfléchir dans ses films, 2 heures à se remettre en question, à voir évoluer les situations, à regarder la nature humaine à travers une reflexion des plus juste.
On souligne au passage de très bonnes interprétation, David Morse, le très grand Viggo Mortensen, Patricia Arquette ou encore le dernier rôle de
Charles Bronson ...
Un film dans la ligné des autres, dur de les départager tant chacun est une véritable aventure humaine.
Rarement un réalisateur n' aura eu autant d' amour et de sensibilité au travers des ses acteurs, rarement quelqu' un aura brassé autant de questions sur la vie et n' aura sucité autant d' introspection chez le spectateur.
Note : 8.5/10

1 commentaires:

Anonyme a dit…

Il faut définitivement que je mate un Sean Penn ou deux pour ne pas mourir idiot. Plutôt trois, alors.

La comparaison avec Eastwood me paraît pertinente a priori. Ce qui est amusant car le sdeux hommes sont quand même très différents politiquement. J'en viens à rêver que Penn nomme le grand Clint dans son jury cannois.